mercredi 7 mai 2008

Mon nouveau cahier

Ça y est, il faut se lancer à un moment ou à un autre. Je veux parler du remplissage de mon nouveau cahier d’idées folles et saugrenues.

Il va tout d’abord falloir que je me fasse à ce nouvel outil. Un cahier est un cahier ? Non ! Dès à présent je me rends compte que la technique d’utilisation est sensiblement différente de celle du carnet à spirales. Il est vrai que je n’ose pas (je me refuse), comme avec les livres, replier complètement la couverture, de crainte de l’abîmer.

Il me faut donc impérativement utiliser ma sacoche comme d’une tablette. Je la pose sur mes genoux afin de pouvoir y poser mon cahier et ça va tout de suite mieux.

Dès le départ, je peux apprécier l’espacement entre les lignes. À vue de nez ça doit faire huit millimètres, ou sept. C’est plus confortable que les carreaux 5x5. Les carreaux ont d’ailleurs disparu. Ne restent que les lignes, ce qui suffit amplement.

C’est Anonyme qui l’autre jour écrivait qu’avec un tel cahier, je ne passerais pas inaperçu. En fait il n’en est rien. Une fois le cahier ouvert on ne voit plus la couverture ! C’est dommage, car l’assemblage des images et des dessins me plait beaucoup.

Quant à la règle des 300 mots, il faudra, une fois que j’aurai rempli une page, que je vérifie par un comptage rapide, si le format d’une page colle avec ce que je me suis imposé.

En parlant de coller, le fait d’avoir retiré ce qui devait être l’étiquette du prix, la couverture est collante à un endroit. Comme pour beaucoup d’autres petites choses, Maurice s’y fera rapidement.

Vous y croirez ou pas, en tous les cas, vous pouvez recompter vous-mêmes : ce texte contient exactement 300 mots ! Étonnant, non ?

Quai RER E

mardi 6 mai 2008

Comment tout gagner

Maurice utilise les transports en commun, mais pas uniquement en semaine. Il lui arrive de se rendre à Paris pendant le week-end pour participer, par exemple, à des balades en roller. La dernière en date fut la randonnée Rollers & Coquillages de dimanche dernier.

L’utilisation des transports en commun évite de se retrouver coincé dans les embouteillages et de tourner pendant des heures pour trouver une place où se garer.

A l’aller les correspondances s’enchaînent rapidement Il faut passer du RER E au RER A puis au Métro. Ce jour-là Maurice et les personnes qui l’accompagnaient eurent de la chance à l’aller et au retour.

A l’aller il leur suffit sans se presser d’atteindre le quai pour qu’un RER ou un métro arrivent. Trop fort !

Au retour, c’est grâce à leur expérience qu’ils purent attraper de justesse une correspondance du RER E. Encore faillirent-ils se faire avoir en beauté !

Le dimanche après-midi, vers la banlieue Est, il faut compter un RER E toutes les demi-heures. Lorsqu’ils prirent le RER A à la Gare de Lyon, connaissant les horaires de départ du RER E à Haussmann-Saint-Lazare et le temps nécessaire à chacun de ces trains pour rejoindre leur point de correspondance à Val-de-Fontenay, ils réalisèrent que ce serait très juste.

Le fait de remonter les rames du RER A à chaque arrêt, afin de se retrouver face à l’escalier de sortie, leur permettrait de gagner de nombreuses secondes à l’arrivée. C’était sans compter sur le fait que la sonnerie annonçant la fermeture des portes était quasiment inaudible ! En voyant les portes se refermer Maurice, dans un réflexe salvateur, réussit à bloquer les portes, à les réouvrir (probablement avec la complicité du conducteur) et à faire monter tout le monde ! Ouf !

Ils ne se firent pas avoir les fois suivantes et se contentèrent de remonter rapidement les rames une à une. Au final, arrivés à destination, leur correspondance était à l’approche. Un dernier sprint pour monter les escaliers et ils étaient sauvés !

Trop fort Maurice !

Passerelle

lundi 5 mai 2008

Nouveau départ

Après avoir abandonné l’écriture pendant quelques mois, Maurice a repris le chemin de la blogosphère et vous rapporte au quotidien ses commentaires éclairés sur la vie de ce monde particulier que sont les transports en commun, ses usagers et ses mœurs parfois étranges.

La fréquence de publication est restée la même, à savoir un billet par jour ouvré travaillé pour Maurice et la longueur de chaque billet ne varie pas, ou peu. Elle tourne toujours aux alentours de 300 mots.

Le thème n’a pas changé non plus. Il y a tant à dire sur cet univers unique en son genre et ses habitants parfois bizarres. J’ai déjà écrit quelque chose sur ce monde de passage qui ne se matérialise qu’au fur et à mesure de l’arrivée de ses habitants.

Par ailleurs Maurice s’attache toujours à fournir une réponse personnalisée à vos commentaires !

Vous aurez probablement noté une modification de la forme. Si la couleur de fond de page reste du même vert-caca-d’oie-terne, chaque billet est dorénavant illustré d’une photo prise par Maurice lui-même. Il n’y a la plupart du temps aucun rapport entre la photo et l’article, c’est juste pour vous faire découvrir ce que voit Maurice et que vous n’avez peut-être pas la possibilité de voir.

Autre changement, mais celui-là vous ne pouvez le voir ni même le deviner, Maurice a abandonné son cahier Impéga 17x22 à spirales et petits carreaux de 180 pages pour le remplacer par un « cahier d’idées folles & saugrenues », cadeau d’une usagère / admiratrice / fan / lectrice / amie (au choix) mais aussi grande utilisatrice des transports en commun, qu’il ne lui reste plus qu’à noircir de ses pattes de mouche (je parle du cahier !).

A noter que cette fois la photo est en rapport avec le texte !

Il ne reste plus qu’à trouver maintenant l’inspiration…

Mon nouveau cahier