Mon nouveau cahier
Ça y est, il faut se lancer à un moment ou à un autre. Je veux parler du remplissage de mon nouveau cahier d’idées folles et saugrenues.
Il va tout d’abord falloir que je me fasse à ce nouvel outil. Un cahier est un cahier ? Non ! Dès à présent je me rends compte que la technique d’utilisation est sensiblement différente de celle du carnet à spirales. Il est vrai que je n’ose pas (je me refuse), comme avec les livres, replier complètement la couverture, de crainte de l’abîmer.
Il me faut donc impérativement utiliser ma sacoche comme d’une tablette. Je la pose sur mes genoux afin de pouvoir y poser mon cahier et ça va tout de suite mieux.
Dès le départ, je peux apprécier l’espacement entre les lignes. À vue de nez ça doit faire huit millimètres, ou sept. C’est plus confortable que les carreaux 5x5. Les carreaux ont d’ailleurs disparu. Ne restent que les lignes, ce qui suffit amplement.
C’est Anonyme qui l’autre jour écrivait qu’avec un tel cahier, je ne passerais pas inaperçu. En fait il n’en est rien. Une fois le cahier ouvert on ne voit plus la couverture ! C’est dommage, car l’assemblage des images et des dessins me plait beaucoup.
Quant à la règle des 300 mots, il faudra, une fois que j’aurai rempli une page, que je vérifie par un comptage rapide, si le format d’une page colle avec ce que je me suis imposé.
En parlant de coller, le fait d’avoir retiré ce qui devait être l’étiquette du prix, la couverture est collante à un endroit. Comme pour beaucoup d’autres petites choses, Maurice s’y fera rapidement.
Vous y croirez ou pas, en tous les cas, vous pouvez recompter vous-mêmes : ce texte contient exactement 300 mots ! Étonnant, non ?