samedi 2 juillet 2005

Comité de soutien

Sur le thème "Star Wars' Fake", merci de bien vouloir soutenir l'action de Nan' en lui faisant parvenir votre contribution !

vendredi 1 juillet 2005

Les couples

Il y en a quelques uns qui voyagent, en tous cas le matin, et je ne mentionnerai pas celui avec lequel je me retrouve la plupart du temps le matin aussi. Afin de conserver de bonnes relations transportsencommuniennes avec eux, je tiens également à préciser que toute ressemblance avec des personnes existant ou ayant existé est complètement forfuite. Cette nécessaire mise au point ayant été faite, nous allons pouvoir commencer.

Je ne sais pas si je dois les admirer. On partage déjà parfois trop de choses à vivre en couple, alors si c'est en plus pour partager les levers matinaux, les retards et tous les problèmes rencontrés dans les transports en commun... Sans parler de ceux qui en plus travaillent dans la même entreprise, celle dans laquelle ils se sont rencontré, après peut-être quelques essais foirés avec d'autres ?

Une chose est sûre, je ne les envie pas. Vous voulez du cliché ?

Lui et elle ont probablement entre 25 et 30 ans. Elle finit sa nuit pendant qu'il est plongé dans la lecture du dernier numéro de Foot Transfert. Pas un seul mot ne sera échangé. A la différence de ce couple de sourds muets, un peu plus âgé, qui n'arrête pas de se faire des signes ! Il ferait mieux de plonger le regard dans le décolleté profond de sa poitrine généreuse comme dirait la pub. A moins qu'il ne remarque même plus ? Ou que ça ne lui soit pas destiné ?

Même chose pour cet autre couple. Il faut qu'ils soient toujours assis l'un à côté de l'autre. On pourrait les surnommer les inséparables, comme les piafs. Il faut dire qu'ils profitent des 30 minutes de voyage pour finir leur nuit.

Les transports en commun ne sont décidemment pas un endroit intime. La preuve, il y en a qui passent leur temps à vous observer pour ensuite publier une description pas forcément flatteuse dans un blog quelconque.

Ont-ils le choix ? Je ne pense pas. Dommage pour eux. Si cela devait m'arriver, j'essaierais de le vivre autrament.

ps : en ce qui me concerne, lorsque je referme la porte de la maison le matin, tout le monde dort encore profondément. Les veinards !

jeudi 30 juin 2005

Happy Birthday !

This is what I could listen to this morning on my way to work. Because of the alphabetical classification, it came just after Funkytown. Funny, ins't it ?

Loving you
Isn’t the right thing to do
How can I ever change things
That I feel

If I could
Maybe I’d give you my world
How can I
When you won’t take it from me

You can go your own way
Go your own way
You an call it
Another lonely day
You can go your own way
Go your own way

Tell me why
Everything turned around
Packing up
Shacking up is all you wanna do

If I could
Baby I’d give you my world
Open up
Everything’s waiting for you

You can go your own way
Go your own way
You an call it
Another lonely day
You can go your own way
Go your own way


And now the typical French style !

Happy Birthday To You !

Happy Birthday To You !
Happy Birthday To You !
Happy Birthday To You ! Maurice !
Happy Birthday To You !

... et PAF ! Un bourre-pif de plus !

Et voici le cadeau de Nan' !

Le cadeau de Nan' mon Capitaine !

Le cadeau de Nan' mon Capitaine !

mercredi 29 juin 2005

Voisine entreprenante

Il fallait bien que ça arrive un jour ou l’autre. Depuis le temps qu’on m’en avait parlé, je brûlais d’impatience de la rencontrer. En fait je l’avais aperçue une ou deux fois auparavant mais jamais je n’avais réussi ou osé entrer en contact avec elle. Je ne suis pas certain qu’elle ne m’ait jamais remarqué auparavant. C’est vrai que je n’avais jamais rien fait en ce sens. En plus j’avais un problème dans la mesure où il n’y a qu’en semaine que je pouvais avoir la chance de la rencontrer, pas le week-end ni même pendant mes congés et tout le monde comprend pourquoi. Je ne savais pas trop non plus si elle était libre ou pas. Moi je ne l’étais pas. En principe. En fait. Ou en théorie, c’est comme vous voulez.

Et quand je dis en semaine, il faut comprendre en dehors des horaires légaux de travail. C’est donc au cours d’une de ces circonstances rares que j’ai pu être assis pas très loin d’elle. Pas à côté car entre nous il y avait une de ses amies que j’avais l’air d’intéresser mais pour laquelle la réciproque n’était pas vraie. Mon objectif était clairement défini et pas question que je passe à côté.

C’est plus tard en fait que j’ai su qu’en fait elle savait que je n’étais pas libre. Car elle avait fini par se poser des questions à mon sujet. N’étant pas libre elle m’avait alors classé dans la catégorie des « impossibles » ou des « perdus » ou des « sans espoir », en tous dans la catégorie de ceux auxquels on ne pense pas.

Je partais donc avec un handicap très lourd, pour ne pas dire insurmontable. Cela explique sans doute le fait que cette fois là il ne se passa rien. J’avais beau essayer d’être le plus brillant possible, au propre comme au figuré, la barre était très haute. Il me faudrait être patient. Et ça je sais faire.

mardi 28 juin 2005

Le play boy

We all came out to Montreux
on the lake Geneva shoreline…

Il est là, il a pris place. Il trône au bout d’une allée, à l’étage supérieur d’une rame EOLE. On a le palais qu’on mérite ! De sa place il peut tout à fait étudier les personnes qui montent à l’étage. Il accorde tout de même une attention plus particulière à la gent féminine. L’œil est expert (je sais de quoi je parle !). Le coup d’œil est rapide et précis. On commence par le haut et on descend pour remonter et recommencer la même manœuvre !

Frank Zappa and the Mothers
were at the best place around…

Intérieurement j’imagine la liste des critères et des appréciations qui défilent. Couleur des yeux, taille, poids, tour de taille, profondeur du bonnet, âge, état civil, chances de conclure, alliance, bijoux, langage corporel, maquillage… Un peu le style Terminator quand il débarque à notre époque, à poil et cherche à s’habiller pour pas cher !

Smoke on the water, fire in the sky…

Ou bien pour ceux qui connaissent comme notre JPP national qui à l’approche du but adverse choisissait comme Terminator entre cacahuète ou patate.

Revenons à notre play boy. Il entretient son look aux racines italiennes, la chemise déboutonnée laissant apparaître la chaîne en or à grosses mailles posée sur un paillasson pectoral à la Demis Roussos, le cheveu noir et gominé, le regard noir , les vêtement noirs… Dans ces cas là je regrette de ne pas avoir d’appareil photo suffisamment discret pour immortaliser ces moments rares et fugaces. En ce qui le concerne le week end n’a pas du être de tout repos. La fatigue et la chaleur aidant, il s’est endormi. Sa tête penche en arrière et il a la bouche grande ouverte ! Il vient de ruiner tous ses efforts !

No matter what we get out of this
I know we’ll never forget
Smoke on the water, fire in the sky

lundi 27 juin 2005

Ma voisine me tient chaud

Cela va faire dix à quinze minutes que le train est parti et je remarque que ma voisine de droite (j’en ai une aussi à gauche) me serre de près. Déjà tout à l’heure elle n’a pas arrêté de farfouiller dans son sac à la recherche de rien finalement. Pendant cinq minutes elle a placé son bras au dessus du mien (celui qui tient le stylo en ce moment). Est-ce un signe ? Mais un signe de quoi ? Que ça l’énerve de sentir mon coude bouger au fil des lignes qui noircissent mon calepin ? JE n’aime pas qu’on me colle, surtout quand j’ai déjà chaud.

Maintenant c’est le mollet ! C’est vrai qu’il y a peu de place pour caser ses jambes. Il y en a partout des jambes et des genoux. Sur les côtés, devant… J’en ai deux entre les miens. D’une voisine encore. En fait je réalise que je suis entouré de femmes (plutôt plus jeunes que moi). Et toujours ce corps qui me colle. J’ai beau gigoter de temps à autres, elle s’éloigne pour revenir un peu plus tard. En plus elle est assise sur mon pan de veste. Je vais avoir droit à un repassage pour rien. Excusez moi ! Ca y est, elle vient de soulever son auguste postérieur pour me libérer. Merci !

Ah, ça y est, elle commence à se détacher un peu. Il était temps. Peut-être essaye-t-elle de lire discrètement ce que je suis en train d’écrire ? Et pour cela elle a besoin de prendre un peu de distance. Je n’ose pars tourner la tête dans sa direction. En plus le train roule au ralenti. Ce n’est vraiment pas de bol. A la première occasion je change de place. Ca ne devrait pas tarder. Elle n’est heureusement pas trop parfumée. Il ne manquerait plus que ça !

Y en a-t-il un ou une qui voudrait ma place ?

dimanche 26 juin 2005

Baptême de l'air

Maurice a pu faire décoller son CV !

Ca vole mon Capitaine !

Ca vole mon Capitaine !