Si tu crois un jour que tu m'aimes...
C'est sur cette chanson que je suis arrivé ce soir à la Haussmann-Saint Lazare. Pour une fois je ne m'étais pas vissé les écouteurs de mon iPod dans les oreilles. J'ai pu donc écouter cette chanson qui détend, forcément, et qui est chargée de souvenirs.
Je ne résiste pas au plaisir de vous faire part de cette information cruciale : ce soir les panneaux d'affichage des horaires des trains fonctionnaient à nouveau dans la gare Haussmann-Saint Lazare.
Par contre il faut que je vous avoue que ce matin je me suis senti dans la peau des deux hommes, vous savez, ceux qui courrent tous les lundis matin parce qu'ils se sont placé en début de quai alors que... Mais bon... Sauf que moi c'était mercredi et que ce n'était pas comme d'habitude. Je n'irai pas jusqu'à dire que ce n'était pas inscrit sur les panneaux d'affichage, car si je les regarde, c'est uniquement pour m'assurer que l'horaire n'a pas été modifié. Je n'étais pas le seul et comme je m'en suis rendu compte avant les autres, j'ai pu bénéficier jusqu'au bout de mon démarrage avant les autres et de l'avantage de ne pas avoir à piquer un sprint en talons aiguilles, chargé d'un multitude de sacs à mains et lesté de quelques kilos en trop ! En retirant le train, imaginez un peu un Maurice poursuivi par une horde de grosses dondons !
ps : j'ai enfin relaché mon attention. A mon réveil en me regardant dans la glace, je pouvais lire la phrase suivante sur mon (large) front :
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